La Galerie ARCTURUS présente ALEJANDRO QUINCOCES « Œuvres récentes »

Jusqu’au 9 avril et dans la lignée de sa prédilection pour la peinture contemporaine espagnole, la Galerie Arcturus présente la 3ème exposition à Paris du peintre Alejandro Quincoces.
Cet artiste né à Bilbao en 1951, au parcours atypique, est passionné dès son plus jeune âge par la musique et la peinture. Il commence ses études aux Beaux Arts à 36 ans et obtient rapidement une vraie reconnaissance en Espagne en remportant de nombreux prix et par sa présence dans de nombreuses collections. Alejandro Quincoces est également exposé régulièrement en Europe et aux États-Unis.
Les sujets auxquels il se consacre sont essentiellement des paysages urbains : villes, usines, autoroutes… vus de loin ou de près. A travers la superposition de couches fermes sur bois, Alejandro cherche à capter la lumière vibrante de son environnement. Son œuvre est mature, forte, où les effets de matière et de lumière créent des vibrations subtiles. Il joue sur la tension entre l’abstraction et la peinture référentielle.
Cette exposition est celle d’un peintre contemporain dont la personnalité dégage une vraie force intérieure qui lui donne un air de simplicité et de solidité sereine dont l’œuvre parvient à fixer un instant fugace en un moment éternel.
ALEJANDRO QUINCOCES
« Oeuvres récentes »
Galerie Arcturus – 65, rue de Seine Paris 6ème
Jusqu’au 9 avril 2016
Du mardi au vendredi, de 14h à 19h
Samedi, de 11h à 13h et de 14h à 19h
http://www.art11.com/galeries/arcturus

Ce diaporama nécessite JavaScript.

Non classé

YOKAN COLLECTION IN PARIS crée l’événement gastronomique et culturel du printemps

Du 18 au 20 mars, 11 Maîtres Pâtissiers japonais du collectif YOKAN COLLECTION vous invitent à découvrir l’univers du Yokan, pâtisserie traditionnelle nippone (WAGASHI), à l’Espace Marais•Marais, rue de Beauce à Paris.
Un parcours pédagogique, gustatif et sensoriel conçu et scénographié par l’Agence [o,o] ; exposition, démonstrations, dégustations révèleront l’histoire de cette pâtisserie emblématique de la gastronomie japonaise et son art de vivre. Une scénographie originale et ludique qui mettra en lumière les passerelles entre gastronomie et design, tradition et innovation, culture japonaise et culture française.

Ce diaporama nécessite JavaScript.

Le Yokan est une pâtisserie à la texture subtile et sensuelle apparue au Japon à l’époque Muromachi (1392-1573) dont la fabrication respecte encore aujourd’hui des techniques et des savoir-faire ancestraux. Principalement constitué de pâte de haricot rouge (Azuki), de sucre traditionnel japonais extrait de canne à sucre (Wasambo-tô) et d’agar-agar (Kanten), le Yokan est à la fois décoratif et bon pour la santé, grâce à ses vertus diététiques. Considéré comme un art à part entière, sa confection se réfère à une recherche du Beau et du Bon et une intégration des grandes valeurs de la culture japonaise (nature, saisonnalité, poésie, mythologie…) qui en font un support d’émotions esthétiques et sensorielles. Ce Wagashi se veut être autant de sollicitations de l’esprit qu’une fête des 5 sens.
Le Yokan flatte l’œil aussi bien qu’il régale le palais. Il évoque la délicatesse du contact d’abord sous la pression légère de la main et du bâtonnet, puis celle du palais et de la langue (le toucher). Ses parfums doux et caractéristiques lui confèrent toute sa finesse (l’odorat). Les parfums, les couleurs et la forme des Yokan se déclinent à l’infini et comme pour la mode, se réfèrent aux 4 saisons. Au printemps, on sert le TÔ- ZAKURA (Horizons Vaporeux de Cerisiers en Fleurs). Ce nom rappelle qu’au printemps, les fleurs des cerisiers sont épanouies et qu’elles panachent le paysage de ravissantes couleurs. En automne, on offre le KOZUE no AKI (Palette d’Automne) qui évoque les couleurs chatoyantes des feuillages changeants, en particulier ceux des érables… Ainsi, ces noms poétiques sont liés au sens de l’ouïe.
Pâtisserie hautement raffinée, prisée par les gourmets, le YOKAN est fait pour se déguster paisiblement avec un thé amer ou un thé vert, un saké, une coupe de champagne ou même un verre de whisky qui feront ressortir la subtilité de sa texture et de ses saveurs. Durant le temps d’un week-end, YOKAN COLLECTION IN PARIS vous invite à explorer l’univers du Yokan sous toutes ses facettes en le découvrant comme un poème de saison, un bijou précieux. Admirer ses formes multiples, goûter ses mille saveurs, comprendre ses symboliques… une expérience inédite de pure esthétisme et de délicatesse.
YOKAN COLLECTION IN PARIS
Du 18 au 20 mars 2016
Espace Marais•Marais- 5bis, rue de Beauce – 75003 Paris
• Vendredi 18 et samedi 19 mars 2016, de 11h à 19h
Démonstrations et dégustations par les Maîtres Pâtissiers à 11h30, 14h30 et 17h
• Dimanche 20 mars 2016, de 11h à 17h Démonstrations et dégustations par les Maîtres Pâtissiers à 11h30 et 14h30 Entrée libre
INFOS PRESSE
Visite presse: vendredi18 mars 2016 (Sur rendez-vous)
Démonstrations et dégustations par les Maîtres Pâtissiers à 11h30, 14h30 et 17h Cérémonie du thé à 17h30
A propos de l’Agence [o,o]
Fondée en 2001 par les designers Olivier Guillemin et Olivier Védrine, l’Agence [o,o] collabore depuis de nombreuses années avec le Japon, notamment avec Shiseido. Elle s’est spécialisée, entre autres, dans la scénographie d’événements « chromogustatifs » liant le design, la mode, la gastronomie et les arts de la table comme pour la Maison Veuve Clicquot et, plus récemment, pour l’Institut Français, pour l’exposition « Tableaux-Tables ». En 2009, la Maison Toraya collabore en tant que partenaire avec [o,o] pour l’Expérience Bleue à Sèvres-Cité de la céramique. Le succès de cet événement et son retentissement au Japon ont amené les pâtissiers de l’association des Yokan à proposer à l’agence l’organisation et la scénographie de l’exposition YOKAN COLLECTION à Paris, en 2016.

Ce diaporama nécessite JavaScript.

A propos de YOKAN COLLECTION
YOKAN COLLECTION est un collectif créé en 2010 réunissant 118 pâtissiers spécialisés dans la fabrication de Yokan, venus des 4 coins du Japon. Ce collectif organise fréquemment des expositions à travers tout le pays. Pour la première fois, il présente son savoir-faire à l’étranger à l’occasion de l’événement YOKAN COLLECTION IN PARIS. La Maison Toraya est à ce jour la seule à être distribuée à l’étranger,à Paris, ceci depuis35 ans.
Non classé

LA GALERIE GRATADOU-INTUITI présente BÉNÉDICTE PONTET « FACE À FACE »

Du 17 mars au 9 avril, la Galerie Gratadou-Intuiti présente les œuvres de Bénédicte Pontet. Cette artiste qui s’imprègne avec force de son temps, nous livre un témoignage artistique marquant…
Bénédicte Pontet née à Paris en 1970
Vit et travaille à Paris
Le peintre fait face, se fait face, se peint, peint son reflet dans un grand miroir. Le peintre dans ce miroir, se scrute, se cherche, se modèle et se sculpte, s’étudie à travers les multiples expressions de son visage, les postures de son corps, la chorégraphie de ses mains. Mis en situation dans le calme de son atelier sous les toits de Paris, l’artiste se connecte sans concession, avec passion, à cette sorte de subtile auto-fiction anatomique qu’est l’autoportrait. Puis un jour, le peintre entre dans une autre histoire. Ce sera celle de la maladie. Du cancer. Ce peintre, c’est Bénédicte Pontet. Ce peintre est une femme qui a vécu le cancer. La jeune femme entame un long processus de soins. Elle consacre son énergie à cette aventure, humaine. Pose un temps ses pinceaux pour ne pas perdre le fil, rouge, ce fil qui la relie, elle, à la vie. Sa quête artistique rejoindra pourtant, heureusement, son désir de vivre. De faire face. Son miroir, dès lors, lui renvoie une nouvelle page, une autre image. Une autre matière. Ses cheveux tombent. Son regard en dit long, qui interroge. Patient. Lourd. Véhément. Ses mains, ses bras se crispent, se distordent. Ses épaules se dénudent, en douceur et exposent de ses seins, délicatement, la dentelle. Ses pieds se croisent. Sa bouche se crispe en un sourire étrange, forcément étrange. Les objets du quotidien se transforment eux aussi et chacun se mue en un autre symbole. L’artiste touche le doute, la douleur, la confiance. L’innocence, l’injustice, l’incompréhension, la violence contemporaine. Le choc. L’espoir. C’est un constat lumineux, des émotions confuses et tangibles, une intensité infinie qui se dessinent dans ces œuvres remarquables à l’esthétique éclairée, suspendues entre deux rives, entre disgrâce et sublime, entre décalage et réalité. Bénédicte Pontet s’imprègne avec force de son temps et nous livre un témoignage artistique marquant, indispensable, d’une authentique et exceptionnelle puissance.
Pascale Geoffrois
BÉNÉDICTE PONTET « FACE À FACE »
Du 17 mars au 9 avril 2016
Galerie Gratadou-Intuiti : 16, rue des Coutures Saint-Gervais – 75003 Paris
Du mardi au samedi, de 14h30 à 18h30 ou sur rendez-vous
http://www.galeriegratadou-intuiti.com

Ce diaporama nécessite JavaScript.

Non classé

LA GALERIE ARCTURUS présente « LIDIA MASLLORENS, œuvres sur papier »

Nouvel accrochage, nouvelle artiste… Du 4 février au 5 mars, la galerie Arcturus présente la 1ère exposition personnelle à Paris consacrée à l’artiste espagnole Lidia Masllorens et à ses œuvres sur papier. Une autre exposition lui est également dédiée à Los Angeles.
Le projet actuel de Lidia Masllorens est de créer un archétype du portrait de ce début du XXIème siècle. Ses œuvres de grandes tailles ont une forte présence, et dégagent un réel dynamisme et une vitalité remarquable. Et ceci est d’autant plus remarquable que c’est un travail sur papier, un travail de retrait et non de superposition de couches. En effet, l’artiste peint complètement le papier en noir à l’acrylique, puis elle travaille par retrait, à l’aide d’un gros pinceau, de la peinture avec un mélange d’eau de javel et d’eau. Le dosage d’eau de javel permet des nuances du rose au blanc. Le geste est vif et rapide, ce qui entraine beaucoup de pertes et de ratés. Comme pour l’aquarelle il n’y a pas de repentir, mais c’est un processus inverse de l’aquarelle. L’autre aspect aléatoire est la réaction du papier avec l’eau qui peut aussi entraîner la destruction d’une œuvre en cours.
Cette nouvelle artiste a une technique originale et personnelle qui fait d’elle une découverte à ne pas manquer !
« LIDIA MASLLORENS, œuvres sur papier »
Exposition du 4 février au 5 mars 2016
Galerie Arcturus – 65, rue de Seine 75006 Paris

http://www.art11.com/galeries/arcturus

Ce diaporama nécessite JavaScript.

Non classé

RODOLPHE PARENTE revisite la célèbre Wire Chair de Charles et Ray Eames pour l’Association La Source

A l’occasion de la 18ème vente aux enchères au profit de l’Association La Source, Rodolphe Parente revisite la célèbre Wire Chair de Charles et Ray Eames en collaboration avec Enzo et Francesco Parente.
La Source organise chaque année une vente aux enchères prestigieuse d’œuvres réalisées généreusement par des artistes de renom (plasticiens, designers, créateurs de mode…) dont le produit est reversé à l’association. Pour la 18ème édition qui aura lieu lundi 14 décembre et pour la 5ème année consécutive, VITRA s’est associé à cette vente en offrant 50 exemplaires de la Wire Chair de Charles et Ray Eames. A cette occasion, le designer Rodolphe Parente revisite cet objet emblématique du design et crée « Buttress » en collaboration avec Enzo et Francesco Parente.
BUTTRESS par Rodolphe Parente
« BUTTRESS » signifie contrefort « BUTT » signifie « derrière ».
Le but ici est de convoquer des références liées à la construction ; « BUTTRESS » fait référence à ce béton armé de fondations des constructions contemporaines : une base pour bâtir. L’idée est d’apporter de requalifier une matière par contraste : brute, rugueuse, matte, lumineuse, pauvre, précieuse, lourde, légère, molle, dure.
A Propos de l’Association La Source
Créée en 1991 par le peintre Gérard Garouste, La Source est une association à vocation sociale et éducative par l’expression artistique. La Source à pour mission première d’aider des enfants et des jeunes de 6 à 18 ans en difficulté (familiale, scolaire ou identitaire) voire en situation d’exclusion, à développer leur créativité artistique dans de nombreux domaines.
18ème vente aux enchères au profit de l’Association La Source
Lundi 14 décembre 2015
Hôtel de l’Industrie, 75006 Paris

http://www.rodolpheparente.com

http://www.asocciationlasource.fr

Ce diaporama nécessite JavaScript.

Non classé

LE VILLAGE DES CRÉATEURS lance la 10ème édition du concours TALENTS DE MODE

Talents de Mode ouvre les candidatures pour son édition 2016 tout en affirmant son positionnement en France et à l’international.
LE TREMPLIN DES CRÉATEURS
TALENTS DE MODE est devenu au fil des années l’un des concours de mode incontournables et son influence ne cesse de grandir grâce à la qualité de ses candidatures et aux dotations qu’il propose. Créé en 2007 par le VILLAGE DES CRÉATEURS (VDC), structure de développement économique des entreprises mode, déco et design objet de la région Rhône Alpes, ce concours a pour vocation de repérer et de promouvoir les talents émergents de la création mode contemporaine en leur offrant des moyens concrets pour se réaliser de façon pérenne en France et à l’international. Grâce à un accompagnement entrepreneurial performant, à un soutien au niveau des relations presse et de la communication, à de multiples partenariats, à la mise en réseau avec les acteurs essentiels du secteur, TALENTS DE MODE s’impose aujourd’hui pour tout créateur de mode porteur de projet (ou en entreprise depuis moins de 2 ans) comme l’excellente opportunité de développer son activité et sa marque dans des conditions optimales.
UN POSITIONNEMENT NATIONAL ET INTERNATIONAL
TALENTS DE MODE est un véritable tremplin pour le développement des marques. Ce concours met avant tout l’accent sur la création, l’innovation produit et la réalité entrepreneuriale. Initialement créé pour soutenir l’implantation de nouvelles entreprises de mode à Lyon par le biais de son 1er prix, TALENTS DE MODE a peu à peu gagné en légitimité et s’est ouvert au monde. Il affirme aujourd’hui un vrai positionnement au niveau national et international.
1er prix
Remis à un lauréat souhaitant être en résidence au VDC à Lyon.
Dotation d’une valeur de 25000 euros comprenant :
•Une résidence dans un atelier-boutique au VDC, Passage Thiaffait pendant 2 ans dont la première année d’occupation est offerte ; la seconde année financée à hauteur de 50%.
•Un chèque d’une valeur de 5000 euros remis par le club des Partenaires du VDC.
•Un accompagnement personnalisé au développement de l’entreprise.
•Un espace sur l’un des univers du salon WHO’S NEXT Prêt-à-porter Paris ou PREMIÈRE CLASSE.
•Un corner éphémère aux Galeries Lafayette Lyon Part-Dieu et Bron.
•Un abonnement de 1 an à la plateforme THE FRENCH TALENTS.
•Participation à l’exposition annuelle du VDC chez JOYCE GALLERY à Paris.
•La réalisation d’un look book avec un mannequin New Face de l’agence GLADYS Agency.
Prix Coup de cœur
Remis à un lauréat sans résidence à Lyon.
Dotation d’une valeur de 8000 euros comprenant :
•Un chèque d’une valeur de 1000 euros remis par le club des Partenaires du VDC.
•Un espace sur l’un des univers du salon WHO’S NEXT Prêtà-porter Paris ou PREMIÈRE CLASSE.
•Une adhésion au VDC.
•Un abonnement d’un an à la plateforme THE FRENCH TALENTS.
TALENTS DE MODE 2016
Ouverture des candidatures : lundi 19 octobre 2015
Dossier à télécharger sur http://www.talentsdemode.com
Date limite de dépôt des dossiers : mardi 15 mars 2016
Infos : contact@talentsdemode.com
http://www.talentsdemode.com
http://www.villagedescreateurs.com

Ce diaporama nécessite JavaScript.

Non classé

OPERA GALLERY présente « REGENERATION, Perspectives on Contemporary Korean Art »

En association avec sa galerie de Séoul, Opera Gallery Paris présente avec force un panorama actuel de la scène artistique coréenne au travers d’une sélection rigoureuse d’œuvres de onze artistes emblématiques. Pour la première fois à Paris, l’exposition Regeneration, Perspectives on the Contemporary Korean Art se propose de mettre en lumière la force créatrice de la scène contemporaine coréenne et de souligner ses spécificités. Bien que le public international soit déjà familier avec l’art contemporain japonais et chinois, l’art contemporain coréen se révèle être un des terrains de création les plus innovants et les plus fascinants grâce à ce que l’on peut nommer aisément une poétique du matériau.
Dans un jeu de communication constant avec ses traditions et son passé culturel, la création coréenne actuelle tend à définir et à dégager les contours d’une identité singulière. Ces artistes se distinguent généralement par la sobriété de leur travail, la quête d’une harmonie au travers de son utilisation de la ligne et de la forme, un usage de la couleur enclin au minimalisme, comme si leurs créations visaient à un équilibre épuré dans un pays dont les considérables transformations récentes ont pu être la source d’une inventivité originale. La nature est omniprésente. Elle peut être le sujet des œuvres ou le médium qui permet l’expression. Repenser et représenter la nature dans un pays qui a connu une des modernisations les plus spectaculaires ces dernières décennies est un véritable défi. Les sculptures en bois de LEE Jae Hyo transforment et révèlent à la fois l’essence de ce matériau, elles sont dotées d’une aura méditative qui rappelle les œuvres traditionnelles bouddhistes mais aussi le Land Art ou l’Arte povera. La réévaluation de la place de l’homme dans l’équilibre social de la société coréenne et le questionnement sur son identité constituent l’épicentre des réflexions de ces artistes.
La notion de modernisation et ses conséquences aliénantes sont questionnées au travers de la figure humaine mécanisée des sculptures de SEO Young Deok notamment. L’artiste LEE Lee Nam intègre l’art digital et la vidéo à ses créations aux apparences traditionnelles. La singularité du médium est alors envisagée comme une signature : chacun a son propre matériau, sa propre technique et s’interdit tout emprunt ; les boutons pour l’artiste RAN Hwang, le bois pour LEE Jae Hyo, le polycarbonate retro-éclairé et l’acrylique pour SON Bong Chae, le charbon pour BAHK Seon Ghi, le feu pour HAN Kyung Won, le papier mûrier pour KIM Illwha… Cette originalité leur est propre et permet un enrichissement et un renouveau de la création artistique. Les productions de la scène contemporaine coréenne dénotent une poésie singulière et un anticonformisme subtil, et font ainsi de ce pays un des nouveaux foyers de la création mondiale qui mérite de s’y arrêter.
KIM In Kyum • SON Bong Chae • SUH Jeong Min • KIM IIhwa • KIM Kang Yong • HAN Kyung Won • RAN Hwang • SEO Young Deok • LEE Lee Nam • LEE Jae Hyo • BAHK Seon Ghi • LEE Gil Rae
OPERA GALLERY
REGENERATION, Perspectives on Contemporary Korean Art
Du 6 au 30 novembre 2015
62, rue du Faubourg Saint-Honoré 75008 Paris
Du lundi au samedi, de 10h00 à 19h30
Dimanche, de 11h00 à 19h00
http://www.operagallery.com
 
Non classé

GALERIE INTUITI Paris & Bruxelles présente PHILIPPE SOUSSAN « Facing Reality »

Principes /
Photographe, Philippe Soussan n’a jamais pu se contenter de ce que l’image présente ou représente. Non par caprice mais parce qu’il perçoit en chacune d’elle l’ambiguïté profonde où elle s’origine. Cette ambiguïté tient moins à l’image même qu’au regard que chacun de nous porte sur le monde qui l’entoure.
Pourtant, dans les faits, nous ne voyons « jamais » les choses « en face ». Les œuvres composant Facing Reality nous invitent à percer ce mystère. Un cercle, celui d’un miroir sur un mur ou d’un plat posé sur la table n’est jamais perçu comme un cercle mais comme une ellipse. Notre cerveau rétabli l’ordre et nous continuons à arpenter la réalité, convaincus de la justesse de notre perception. Cet automatisme correctif est la source en nous du déni de ce « vide » originel dans lequel la perception prend sa source.
Philippe Soussan depuis quelques années « troue » littéralement ses images. Il inscrit à même la chair du visible la part occultée de l’oubli ou du déni. De trou en trou, ses œuvres inventent un langage. Le « réel » n’étant pas le représenté, ni même ce qui est vu par l’œil, mais ce décalage radical qui interdit à chaque image d’être ce qu’elle prétend, il prend le parti de conférer à ce trou une présence active dans l’image.
Œuvres /
Bouée découpée d’un cercle qui est déjà, comme dessin, présent sur la bouée mais qui métaphoriquement vaut pour la bouée même, cette image comporte aussi une partie recollée. Elle met donc en scène le support comme objet et ainsi permet d’inverser la signification des termes « sujet » et « objet ». Face à cette image nous découvrons en fait le mécanisme perceptuel qui fonde le fait que nous ne fassions jamais face à la réalité.
Associée en un diptyque avec la photographie de l’anneau du skydome d’un escalier, l’image trouée montre qu’elle peut devenir plus que ce qu’elle montre. Ou bien l’effet inverse d’occultation par de légers voiles superposés devant l’image laisse deviner un verre « peint » au bord d’un support trois fois de manière légèrement différente, en aboutissant dans le sens habituel de la lecture, à une image qui révèle la véritable situation de l’objet, posé sur le bord d’une chaise.Mais cette fois, c’est la chaise qui est trouée. Le trou apparaît ici pour ce qu’il est la matérialisation du manque interne à toute vision.
Gros plan sur un rond découpé dans une feuille de papier marron, la partie découpée est replacée sur le trou de son origine. Décalage, incompatibilité entre les morceaux, Philippe Soussan pousse le face à face avec cette réalité intraitable en découpant l’image finale de petits trous bien ordonnés. L’image s’ouvre alors littéralement à l’envers du réel à cette part d’imaginaire qui nourrit chaque seconde de nos vies et qui fait que redevenue objet l’image permet à des associations fécondes de se former en nous. La bouée parle la langue des migrations mais aussi celle du ciel, le trou qui accompagne la découpe du skydome se met à parler la langue du cosmos, le papier découpé du manque originel et le trou de la chaise de l’illusion virale des sens, lorsqu’il migre sur le verre dessiné. Oui, ici tout en nous indique que notre conscience est un esquif fragile qui navigue sur l’océan bruyant des évidences impartageables.
Jean-Louis Poitevin
Rédacteur en chef de TK-21 LaRevue
(www.tk-21.com)
GALERIE INTUITI PARIS
Du 13 octobre au 7 novembre 2015
16, rue des Coutures Saint-Gervais Paris 3ème
GALERIE INTUITI BRUXELLES
Du 9 au 28 novembre 2015
Rivoli Building – Ground floor #15-16 – 690, chaussée de Waterloo – BE-1180 Brussels Belgium
FOTOFEVER ART FAIR
Du 13 au 15 novembre 2015
Carrousel du Louvre Paris 1er / Stand A12
http://www.galerie-intuiti.com
 
Non classé

OPERA GALLERY présente « INFORMED, Art Informel and the Contemporary Structure »

Dans sa nouvelle galerie parisienne située 62, rue du Faubourg Saint-Honoré, OPERA GALLERY débute sa programmation d’expositions thématiques avec INFORMED – ART INFORMEL AND THE CONTEMPORARY STRUCTURE, du 2 au 31 octobre 2015. Un ensemble d’une trentaine d’œuvres rassemblées pour l’occasion explore l’évolution de l’Art Informel d’après-guerre et ses conséquences sur l’art contemporain. Son contenu thématique documente le développement du mouvement et met en lumière la richesse des expérimentations. Envisagé comme l’expression d’une quête humaniste qui débute en Europe et aux États-Unis au lendemain de la Seconde Guerre Mondiale, l’ensemble qui compose INFORMED – ART INFORMEL AND THE CONTEMPORARY STRUCTURE souhaite mettre en perspective la richesse des propositions des artistes sur leurs contextes et les bouleversements qui redéfinissent l’équilibre mondial.
Historiquement, L’Art Informel se réfère au non-formé ou à l’informe, souvent attaché à un geste ou à une technique inédite. Apparu pour la première fois dans l’ouvrage de Michel Tapié Un Art Autre daté de 1952, le qualificatif Art Informel s’impose rapidement pour englober des travaux construits de manière subjective et expressive, rejetant les compositions intellectuelles du Cubisme Géométrique ou de l’Art Abstrait géométrique ; et trouvant de nombreuses manifestations en France, en Allemagne, en Italie, au Japon et en Espagne notamment sous la forme de l’Abstraction Lyrique, de l’Expressionnisme Abstrait, du Zéro, de Cobra, de Gutai et du Tachisme. Chacun de ces groupes représente une variation géographique du sentiment prépondérant d’ambigüité et de consternation face à l’absurdité et la violence de la guerre. L’expérience prédomine sur la connaissance d’un monde à recréer. Les résonances actuelles de l’Art Informel représentent une série de réactions aux conditions de vie des hommes des 20ème et 21ème siècles.
En créant des allégories visuelles qui répondent aux transformations du présent, l’Art Informel devient un mécanisme par lequel s’exprime l’expérience individuelle plutôt que la réalité d’un quotidien qui a perdu son pouvoir d’enchantement.
Alessandro Algardi ● Agostino Bonalumi ● Jean Dubuffet ● Lucio Fontana ● Sam Francis ● Hans Hartung ● André Lanskoy ● Marcello Lo Giudice ● Umberto Mariani ● Georges Mathieu ● Anselm Reyle ● Turi Simeti ● Pierre Soulages ● Antoni Tàpies ● Wang Yehan ● Karel Appel
OPERA GALLERY
INFORMED, Art Informel and the Contemporary Struture
Exposition du 2 au 31 octobre 2015
62, rue du Faubourg Saint-Honoré 75008 Paris
Du lundi au samedi 10h – 19h30, le dimanche 11h – 19h
http://www.operagallery.com
 
Non classé

RODOLPHE PARENTE signe pour la Maison Pouenat, un nouveau concept de marqueterie de métal mural

Agenceur, métallier, ferronnier architectural et décoratif depuis 1880, Pouenat met à l’honneur son activité majeure : le sur-mesure Made in France en présentant à l’occasion du Salon Révélations au Grand Palais son excellence et son savoir-faire en matière d’agencement. Pour ce rendez- vous incontournable des métiers d’art, la Maison Pouenat expose son travail d’ensemblier, ses projets d’agencement et d’ornement tournés vers l’excellence.
Dans un style contemporain, elle présente un nouveau concept de marqueterie de métal murale dessiné par Rodolphe Parente. Ce travail réside dans la mise en place d’un habillage contemporain aux formes géométriques, aux couleurs douces et élégantes. Inspiré par les anamorphoses et la volonté de jouer sur la juxtaposition de matières mates et brillantes, l’architecte d’intérieur a voulu utiliser le savoir-faire de Pouenat pour aboutir à une œuvre très graphique où les jeux de lumières sont renforcés par le travail du métal. Rodolphe Parente et Pouenat proposent ainsi une nouvelle installation décorative singulière mettant l’accent sur la multiplicité de leur travail et de l’architecture d’intérieur.
Pour donner un ton juste à ses créations, Rodolphe Parente place toujours l’utilisateur au centre de sa démarche créative qu’il veut ouverte aux émotions, à la qualité du dessin. Il puise dans le quotidien, ce qui va en permanence inspirer son travail de création : un mélange intime de textures et de sensibilités qui le guide vers une quête de perfection motivée par une recherche de confort, d’esthétisme et de fonctionnalité.
RÉVÉLATIONS, le salon des métiers d’art et de la création
Grand Palais, avenue Winston Churchill 75008 Paris
Jusqu’au 13 septembre 2015
POUENAT / Stand D17
http://www.rodolpheparente.com
http://www.pouenat.fr

Non classé