Le FIPC dévoile le palmarès de ses LENTILLES D’OR 2022…

Depuis sa création en 2009 par Jean-Pierre PJ STEPHAN, le FESTIVAL INTERNATIONAL DE LA PHOTOGRAPHIE CULINAIRE (FIPC) est l’unique manifestation mondiale grand public et professionnelle qui met en avant le travail de photographes internationaux dont l’art et l’univers de réflexion est celui de notre alimentation.

Pour cette 13ème édition parrainée par Éric FRECHON, Chef multi étoilé, Meilleur Ouvrier de France, Le Bristol Paris, 19 photographes professionnels français et étrangers ont été invités à illustrer le thème « Le Goût du Lait » en présentant trois photographies chacun. Tous concouraient pour les LENTILLES D’OR, prix que remet chaque année le FIPC.

Le 1er décembre dernier, Salle Olympe de Gouges à Paris, le FIPC a dévoilé le palmarès de ses LENTILLES D’OR 2022 :

• Grand Prix du FIPC 2022 : Claudia ALBISSER HUND

• Prix du Patrimoine et de la Photographie Gastronomique : Virginie PÉROCHEAU

• Grand Prix des Ambassadeurs du Produit :  Claudia ALBISSER HUND

• Prix Spécial CNIEL : Virginie PÉROCHEAU

• Prix Spécial Press Club de France : Claudia ALBISSER HUND

• Prix du Public Régal : Gabriel DIA & Julie ORIOL

Les photographies FIPC 2022 sont actuellement présentées et jusqu’au 4 décembre prochain, dans le cadre d’une exposition dédiée Salle Olympe de Gouges, 15 rue Merlin 75011 Paris (Entrée libre, tous les jours, de 11h à 18h).  Cette exposition ouvrira également la saison culturelle 2023 du Château de Valençay (Indre) à partir du 18 mars 2023.

http://www.festivalphotoculinaire.com

Contact presse : Christian Lemoine de La Salle +33 6 08 56 23 91 – ch.lemoinedelasalle@gmail.com

Non classé

Le FIPC présente du 18 novembre au 4 décembre 2022, « Le Goût du Lait », Salle Olympe de Gouges à Paris…

La photographie culinaire est devenue une véritable œuvre d’art faisant entrer l’alimentaire dans la sphère artistique contemporaine. Aujourd’hui, la photographie culinaire présente à un très nombreux public à la fois gastronome et curieux, une image évocatrice de mythes dans un contexte esthétisant.

Le Festival International de la Photographie Culinaire (FIPC), l’unique manifestation internationale culturelle qui rend hommage au travail de photographes plasticiens ayant pour univers de réflexion notre alimentation, présente du 18 novembre au 4 décembre 2022, l’exposition « Le Goût du Lait », Salle Olympe de Gouges à Paris. Depuis des siècles, le lait est source d’inspirations infinie. La référence au lait et à ses vertus, parfois à ses pouvoirs, abondent dans les récits mythologiques dont les représentations artistiques ont été et sont encore très nombreuses. Symbole de pureté, synonyme de richesse et d’abondance, il a traversé le temps et reste aujourd’hui encore un des aliments les plus ancrés dans notre consommation, les plus présents dans notre quotidien.

Les 19 photographes sélectionnés pour la 13ème édition du Festival International de la Photographie Culinaire (FIPC), illustrent à cette occasion et avec 3 images chacun le thème du « Goût du Lait ». Alliant réflexion, exigence, sensibilité, humour et émotion, cette exposition démontre que chaque photographe possède en matière de gastronomie un point de vue affirmé, signant sa photographie comme un peintre son tableau. Ils nous surprennent ici avec leurs images inédites, innovantes et singulières.

A l’occasion de cette exposition, une journée de rencontres ouverte à tous est proposée le jeudi 24 novembre 2022, de 10h à 17h, autour de tables rondes, conférences, séance de prise de vue, dédicace qui réuniront de nombreux invités parmi lesquels la photographe plasticienne Mathilde de L’Écotais, l’historien Loïc Bienassis, l’auteur gastronomique Kilien Stengel, les photographes festivaliers Laurent Rodriguez et Marc Combier, le Chef David Rodriguez, le Directeur du pôle Communication & Marketing du Centre National Interprofessionnel de l’Economie Laitière (CNIEL) Christophe Spotti, la designer Sylvie Amar

Les photographes festivaliers :

Claudia Albisser Hund, Gilles Auteroche, Yanne de Bongre, Thierry Borredon, Chang Ki Chung, Marc Combier, Sterenn Crahan, Gabriel Dia, Emilie Gentils, Francesc Guillamet, Franck Hamel, Emma Noir, Julie Oriol, Aline Perier, Virginie Perocheau, Nicolas Ravinaud, Laurent Rodriguez, Laure Villain, Amaury Voslion.

http://www.festivalphotoculinaire.com

Contact presse : Christian Lemoine de La Salle +33 6 08 56 23 91 – ch.lemoinedelasalle@gmail.com

Non classé

Le FIPC au SALON DE LA PHOTO, du 6 au 9 octobre 2022…

Henri de Toulouse Lautrec peintre et photographe, gastronome averti et jouisseur patenté avait coutume de fanfaronner : « Je boirai du lait quand les vaches bouteront du raisin ! ».

Source de calcium, de phosphore et de plusieurs vitamines, le lait nourrit les hommes depuis la Préhistoire : des traces de ‘faisselles’ trouvées en Pologne datent de 7000 ans avant Jésus-Christ…et de nombreuses légendes autour du fromage nourrissent joliment nos imaginaires…

Alors pour sa 13ème édition le Festival International de la Photographie Culinaire (FIPC) a retenu pour thématique « Le Goût du Lait ».

Avec pour partenaires institutionnels le Centre National Interprofessionnel de l’Économie Laitière, la Fédération des Fromagers de France, le Comité National des Appellations d’Origine Laitières, le Club de la Table Française et Euro-Toques France, le FIPC est très heureux d’être invité au Salon de la Photo et de présenter sur son espace une sélection d’images des 19 photographes plasticiens de la compétition officielle : une installation élégante, innovante, étonnante et gourmande…des œuvres où s’allient le beau et le bon pour notre plus grand plaisir.

Programmation des 18 animations des photographes festivaliers à l’occasion du Salon de la Photo 2022 (Modérateur : Jean-Pierre PJ Stéphan, Président fondateur du FIPC) :

Jeudi 6 octobre 2022 :

11h30 à 12h : Franck Hamel – Entretien : « Photographe Officiel du FIPC 2022 / 12h30 à 13h : Laure Villain – Entretien : « Peintre photographe culinaire » / 14h à 14h30 : Gabriel Dia – Entretien : « De la photographie de mode à la photographie culinaire » / 15h à 16h : Nicolas Ravinaud – Séance de prise de vue : « Portrait culinaire » / 16h30 à 17h : Laure Villain – Séance de prise de vue : « Fromage en lumière ».

Vendredi 7 octobre 2022 :

11h à 12h : Nicolas Ravinaud – Séance de prise de vue : « Portrait culinaire » / 12h30 à 13h : Laure Villain – Entretien : « Peintre photographe culinaire » / 14h à 14h30 : Franck Hamel – Entretien : « Comment devient-on photographe culinaire ?  » / 15h à 15h30 : Laure Villain – Séance de prise de vue : « Fromage en lumière » / 16h à 16h30 : Virginie Perocheau – Entretien :  » Natures mortes ».

Samedi 8 octobre 2022 :

11h à 11h30 : Franck Hamel – Entretien : « Comment devient-on photographe culinaire ? » / 12h30 à 13h : Laure Villain – Séance de prise de vue : « Fromage en lumière » / 14h30 à 15h : Thierry Borredon – Entretien-projection : « Le goût de la terre » / 15h à 15h30 : Laure Villain – Entretien : « Peintre photographe culinaire » / 16h à 16h30 : Virginie Perocheau – Entretien : « Natures mortes ».

Dimanche 9 octobre 2022

11h à 11h30 : Laure Villain – Entretien : « Peintre photographe culinaire » / 12h à 12h30 : Franck Hamel – Entretien : « Photographe officiel du FIPC 2022 » / 14h à 14h30 : Laure Villain – Séance de prise de vue : « Fromage en lumière ».

SALON DE LA PHOTO 2022 / Du 6 au 9 octobre 2022, de 10h à 19h / Grande Halle de la Villette : 211, avenue Jean Jaurès 75019 Paris / Espace FIPC : Stand D020

http://www.festivalphotoculinaire.com

Photo : @ Franck Hamel, Photographe officiel du FIPC 2022

Contact presse : Christian Lemoine de La Salle +33 6 08 56 23 91 – ch.lemoinedelasalle@gmail.com

Non classé

Le FIPC dévoile la programmation de sa 13ème édition à partir du mois d’octobre 2022…

Depuis sa création en 2009 par Jean-Pierre PJ Stéphan, le Festival International de la Photographie Culinaire (FIPC) est l’unique manifestation mondiale grand public et professionnelle qui met en avant le travail de ces artistes internationaux dont l‘univers de réflexion est celui de notre alimentation.

Notre société est celle de l’image. La photographie, qui remplace la chose écrite, invite à réfléchir, rêver et parfois saliver quand il s’agit de photographie culinaire. On mange désormais avec les yeux.

Activité mineure il y a encore quelques années, la photographie culinaire est devenue celle d’un nombre grandissant de photographes du monde entier. Un nouveau terrain d’expression artistique avec ses codes, ses références et ses talents, apparaît. Anthropologique, ethnologique, de reportage, de gestes ou de portrait, ce genre nouveau fait entrer l’alimentaire dans la sphère artistique contemporaine. De vraies signatures se dégagent, chaque photographe culinaire apportant un point de vue affirmé et identitaire. Il signe son image comme un peintre son tableau.

19 photographes en lice…

Pour cette 13ème édition, 19 photographes professionnels français et étrangers seront en compétition et illustreront le thème « Le Goût du Lait » en présentant chacun 3 photographies.

Les photographes en compétition : Claudia Albisser Hund, Gilles Auteroche, Yanne de Bongre, Thierry Borredon, Changki Chung, Marc Combier, Delphine Constantini, Sterenn Crahan, Gabriel Dia, Emilie Gentils, Francesc Guillamet, Franck Hamel, Emma Noir, Julie Oriol, Aline Perier, Virginie Perocheau, Nicolas Ravinaud, Laurent Rodriguez, Laure Villain, Amaury Voslion.

Un espace dédié sur le salon de la Photo / Du 6 au 9 octobre 2022 à la Grande Halle de la Villette

Accrochage d’une sélection de 20 photographies parmi les 60 en compétition. Cette sélection est réalisée par le CNIEL (Centre National Interprofessionnel de l’Économie Laitière), partenaire institutionnel du FIPC 22. Au programme : ateliers, rencontres, séances de prises de vues… animés par plusieurs photographes festivaliers.

Grande Halle de la Villette : 211, avenue Jean Jaurès 75019 Paris

Un exposition parisienne / Du 18 novembre au 4 décembre 2022, Salle Olympe de Gouges

Accrochage des 60 photographies en compétition. Exposition gratuite ouverte au public, tous les jours, de 11h à 18h. A cette occasion, jeudi 24 novembre 2022, journée de rencontres et de débats sur le thème « Le Goût du Lait » (Entrée libre).

Salle Olympe de Gouges : 15, rue Merlin 75011 Paris

Les Lentilles d’Or FIPC 22 / Jeudi 1er décembre 2022 (Sur invitation uniquement)

Cérémonie de remise des 6 prix du FIPC 22, Les Lentilles d’Or : Grand Prix du Festival, Grand Prix de la Photographie du Patrimoine Gastronomique, Grand Prix des Ambassadeurs du Produit, Prix Spécial CNIEL, Prix Spécial Press Club de France, Prix du public Régal

Une exposition pour les fêtes de fin d’année / Décembre 2022 – Janvier 2023 au Château de Valençay

Accrochage des 60 photographies en compétition au Château de Valençay (Indre), dans les emblématiques cuisine d’Antonin Carême, le Chef des Rois et le Roi des Chefs.

Château de Valençay : 2, rue de Blois 36600 Valençay

Contacts presse : Christian Lemoine de La Salle +33 6 08 56 23 91 – ch.lemoinedelasalle@gmail.com et Véronique Foubert-Huleux +33 6 88 45 81 21 – v.foubert-huleux@wanadoo.fr

Non classé

ROMETTI présente ses nouvelles collections de céramiques, pièces uniques et éditions limitées « Madame CHANTAL THOMASS & UGO LA PIETRA », du 23 mars au 7 mai 2022, à la Galerie Bettina…

La manufacture de céramiques ROMETTI a été fondée en 1927 à Umbertide, en Italie, par le fameux céramiste Settimio Rometti et ses neveux Aspromonte Rometti et Dante Baldelli. Dans la mouvance de l’avant-garde culturelle du XXème siècle, la manufacture ne cesse depuis, de créer de nouvelles passerelles pour révéler le fort potentiel de la céramique.

En 2010, avec l’arrivée à sa tête, de Massimo Monini, entrepreneur et mécène épris d’art et de beauté, et sous l’impulsion de Jean-Christophe Clair, son Directeur Artistique à l’univers d’expressions artistiques riche, la manufacture ROMETTI trouve l’équilibre parfait entre contemporanéité et traditions d’exception des maîtres céramistes italiens.

Une histoire qui met en exergue les matériaux et les techniques des artisans du Tibre. L’argile naturelle extraite des carrières étrusques qui bordent le fleuve, est l’humus vital d’un savoir-faire unique. Un patrimoine vivant qui célèbre les procédés anciens de façonnage perpétués encore aujourd’hui par des
artisans d’excellence. Cet art a trouvé ici une nouvelle et belle vitalité rendant ses pièces si désirables notamment dans le monde des collectionneurs.

Les collections ROMETTI sont un voyage créatif à travers des stimuli culturels qui se combinent les uns aux autres pour donner naissance à de nouveaux paysages, de formes, d’illustrations et de couleurs. Les prestigieuses collaborations avec des créateurs et designers de renom tels que Madame Chantal Thomass, Ugo La Pietra, Cédric Ragot ou encore Kenzo Takada révèlent encore davantage le caractère unique de la manufacture en affirmant un style artistique éclectique et diversifié.

Du 23 mars au 7 mai 2022, ROMETTI dévoilera en exclusivité à la Galerie Bettina, une collection inédite de plats XL et une pièce magistrale imaginées par Madame Chantal Thomass ainsi que de spectaculaires totems signés par l’architecte designer Ugo La Pietra, figure majeure de la scène radicale italienne des années 60′ et 70′.

Galerie Bettina, 2 rue Bonaparte 75006 Paris

http://www.rometti.it

Non classé

ADPHILE x ÉCOLE NATIONALE DES ARTS DÉCORATIFS, Le timbre réinventé…

L’ADPHILE (Association pour le développement de la philatélie) en partenariat avec l’École Nationale des Arts Décoratifs lance un module de recherche et de création destiné à réinventer l’usage du timbre.
L’utilisation du timbre s’est progressivement affaiblie ces dernières années. Les nouveaux moyens de communication en sont sans nul doute la cause. La lettre garde pourtant un capital sympathie fort auprès d’un large public et reste aujourd’hui encore pour beaucoup de générations un moyen de communication personnalisé au relief incomparable. Les collections philatéliques quant à elles continuent d’être alimentées et font l’objet d’un intérêt qui ne faiblit pas avec des timbres aux valeurs inestimables. Ils évoquent des thèmes diversifiés et représentent une source de savoir originale et peu coûteuse. La lettre et son timbre sont toujours porteurs de valeurs. Ils incarnent le voyage, le partage et donnent à voir une vision du monde ouverte et humaine.
Fort de ce postulat, 13 étudiants de l’École Nationale des Arts Décoratifs ont été invités par l’ADPHILE durant les mois d’octobre et novembre à réfléchir à un nouvel usage du timbre. Élaborer et organiser un événement festif, culturel, économique, sportif devant mobiliser autour de grands sujets environnementaux et d’aujourd’hui un public large et transversal. Un projet inédit devant aussi amener ce public participatif à communiquer par courrier postal.
A travers ce module de réflexion et de création, il s’agit également pour ces étudiants de 3ème année de comprendre que la finalité des recherches n’a de sens que dans l’application. Le 13 décembre prochain, ils présenteront leur projet devant un jury de personnalités.
À PROPOS DE l’ADPHILE
L’ADPHILE est une association ayant pour but d’encourager le loisir philatélique auprès du grand public, des jeunes et notamment auprès des enfants de 7 à 11 ans. Elle conçoit des événements et des outils ludiques et pédagogiques avec le support du timbre sur des sujets de société : biodiversité, citoyenneté, arts… L’ADPHILE est agréée par le Ministère de l’Éducation Nationale comme association éducative et complémentaire de l’enseignement public.
http://www.decouvrirletimbre.com
Contact presse : Christian Lemoine de La Salle +33 6 08 56 23 91 – ch.lemoinedelasalle@gmail.com

Ce diaporama nécessite JavaScript.

Non classé

JOYCE GALLERY présente, du 28 mai au 15 juin, « ARTICULATION », une exposition de KUNTZEL + DEYGAS…

Du 28 mai au 15 juin, Kuntzel+Deygas proposent Articulation à la galerie Joyce (Paris 1er), une exposition de dessins, objets et musique autour du mouvement et du dialogue. Dessins-affiches, encres-storyboard, speakers anthropomorphes et bande-son s’articulent et se répondent pour composer la trame d’un film imaginaire ébauché par Olivier Kuntzel et Florence Deygas. Deux grands manipulateurs d’images et son, à qui l’on doit entres autres depuis 1988 le générique de Catch me if you can pour Steven Spielberg, le personnage-égérie La Petite Robe Noire Guerlain, la Lampe MiCha (vendue au Bon Marché) ou les deux chiens existentialistes italiens Cap & Pep dont les aventures ont fait les beaux jours de Colette et du Vogue Nippon.
L’exposition regroupe deux séries de dessins organiques à l’encre : articulations d’Olivier Kuntzel et contorsions d’après modèle vivant par Florence Deygas. Certains dessins de ces deux séries seront agrandis sur des tapis tuftés main ou bien rétrécis puis sérigraphiés sur des tote bag en série limité. Dans l’espace, 8 MinuSkull, ces enceintes vanités imaginées par le duo diffuseront sons, musique et des paroles qui dialogueront pour composer un paysage sonore évolutif signé Romain Turzi dont le point de départ est un court texte français confié à Google Translate pour être traduit, manipulé, trituré en différentes langues avant son retour en français dans une version métamorphosée.
Olivier Kuntzel a débuté cette série de dessin à l’encre et gouache sur carton bois, des cadrages serrés sur des bras articulés mi organiques mi exo-squelette. On pense à des affiches pour un film fantastique élégant. “Affiches parce qu’une sensation typographique structure toujours mes dessins. Le trait est tendu, les courbes évoquent des trajectoires bien négociées ; et l’élégance naît de cette impression de rencontrer un monstre bien habillé. Dans l’affiche il y a un mystère que le film va révéler, mais là, pas de film, juste du mystère. “ Les gouaches mélangées à la poudre métallique sont encadrées sans vitre “pour charger le contact cru avec toutes ces textures. On prend le risque de l’altération, ce n’est pas un risque c’est la vie du dessin qui évolue, vieillit, se patine, devient plus précieux encore avec le temps.”
Pour sa série d’esquisses, Florence Deygas a pris rendez-vous avec une contorsionniste “pour me déstabiliser un peu face à un modèle vivant. Inédit pour moi. Les postures restaient sous mes yeux quelques secondes, les 3 heures de la première séance étaient comme un marathon sans respirer. Le mouvement était captivant. La nudité du croquis m’a toujours attiré. Ce qui peut naître du trac aussi.”. Une urgence de l’instant qui délivre de l’habilité pour s’approcher du vivant. “Je me suis retrouvée comme si je voyais un corps humain pour la première fois, étonnée de voir une tête aussi près d’une hanche, de ne plus comprendre d’où venait le point d’appui. La prochaine fois je dessinerai en cabine d’apesanteur !”
MinuSkull ” Nous avons eu envie que les premiers spectateurs de l’exposition soient un groupe de 8 MinuSkull auxquels nous avons donné des corps en ruban de métal soudé, réalisés d’après nos croquis par Y.A.ATelier, puis nous avons amené ce groupe au musicien et compositeur Romain Turzi, qui a accepté de composer une œuvre musicale à huit voix pour cette installation.
KUNTZEL + DEYGAS : « ARTICULATION »
Exposition du 28 mai au 15 juin 2019
Du lundi au vendredi, de 12h à 18h30
Samedi, de 14h30 à 19h
JOYCE GALLERY
168, Galerie de Valois – Jardin du Palais Royal – 75001 Paris
http://www.joyce.com
http://www.kuntzel-deygas.com

Ce diaporama nécessite JavaScript.

Non classé

LA GALERIE GRATADOU-INTUITI présente du 1er au 24 février, « La tournée des collègues », une exposition de FRANCKY BOY…

Francky…Hou hou !…Francky… Francky dort encore, il doit être 18H00, je vais être obligé de monter les six marches qui mènent au réduit où il vit chez Coluche. On est début 80, Michel Colucci est au fond de la pièce, de l’autre côté de sa piscine intérieure. Les yeux en capote de fiacre et la mine grise malgré un sourire calimérien ; les produits qui tournent à Paris sont forts et de mauvaise qualité.
Francky est chargé avec les « Musulmans Fumants » de couvrir de fresques la pièce d’en bas, la pièce de loisir : piscine, baby foot, flipper et bientôt mini studio d’enregistrement. LA pièce où l’on finit les nuits avec pas mal du Tout Paris et un peu du tout nulle part.
Francky, je l’ai rencontré quelques mois auparavant. Avec Téléphone, on calait sur la pochette d’ Un autre monde. François (ami et manager), dans un aéroport me dit : « Mondino m’a présenté un mec dingue et, regarde, il a pondu ça ! Il me sort la peinture de Francky : Tu vois, Un autre monde, le bras qui s’allonge vers le jouet, c’est un tableau mobile, on pourrait rajouter un jouet à chaque 100 000 albums (L’album ayant démarré mollement, on oubliera de rajouter les jouets plus tard)… J’ai froncé les sourcils mais, quand notre avion a atterri à sa destination, c’était décidé Un autre monde aurait sa pochette jaune qui crache un truc jamais fait.
Par la suite, Francky qui faisait de l’animation en Super, réalisera le clip d’Électrique cité, et le clip d’Un autre monde, réalisé par Mondino, sera basé sur ce regard poétique d’enfant sauvage lâché dans la cité : le regard de Francky.
Nous nous sommes revus de loin avec le Boy et nous sommes devenus les amis que nous sommes. Francky est le contraire d’un dilettante. Ce n’est pas parce que ses personnages, girafe rigolote et petit Mickey farceurs, nous font rire qu’il faut les trouver légers. Ces engins motorisés en tout genre, bagnoles, fusée, avions qui mènent à la grande ville, à la grande vie, ce sont des outils pour traverser et retraverser le fleuve des soucis convenus où se noient les bâtisseurs de réel, que les eaux boueuses emmènent inexorablement, aux océans de silence. Francky décline ces mêmes thèmes depuis plus de trente ans avec le soin d’un Rembrandt, l’opiniâtreté d’un Bacon, la provocation d’un Picasso.
C’est de l’enfance vive et en fait, un cri sans cesse recommencé. Le désir de cet enfant au bras qui s’allonge indéfiniment pour montrer et attraper ce paradis perdu, du Francky qui grandit en rêve dans les bras de la ligne droite des Hunaudières. C’est l’histoire de cette enfance kidnappée sous les carapaces d’adultes et qui, à coup d’aplats acryliques aux tons acide, ne cesse d’appeler au secours. Oui cette légèreté conjuguée, répétée, travaillée avec l’autisme de Van Gogh est politique, finalement. Ce n’est pas la lutte des classes mais la lutte du fond de la classe à coup de boules de papier colorées, c’est la lutte de l’enfant seul contre tout un système social qui bouche les pores de la peau de l’âme. C’est le cri de l’enfant seul, notre ancêtre, qui veut continuer la conversation avec les adultes que nous sommes devenus, et qui, revendique les promesse que nous lui avons faites.
Hou ! hou !… Francky les six marches qui mènent à ton cœur, jaune et orange et violet et bleu et vert et rouge, il faut les descendre ou les monter? Cette vie de montagnard dont tu es l’improbable guide, elle est face nord ou chemins de traverses? Face sud.
Jean-Louis Aubert, Janvier 2011
FRANCKY BOY « La Tournée des collègues »
Du 1er au 24 février 2018
Galerie Gratadou-Intuiti : 16, rue des Coutures Saint-Gervais 75003 Paris
http://www.galeriegratadou-intuiti.com
Contact presse : Christian Lemoine de La Salle +33 6 08 56 23 91 christian@lemoinedelasalle.com

Ce diaporama nécessite JavaScript.

Non classé

La GALERIE GRATADOU-INTUITI présente du 16 mars au 22 avril 2017 « Marie, une histoire possible », une œuvre de MARC DEL PIANO

Le faux, élément incontournable de l’uchronie comme médium. Au commencement, l’idée d’une représentation différente. Sculptée, Marie représentée comme mère mais avant tout comme femme, semblable aux autres. En réalisant avec les techniques ancestrales, taille dans le bois, enduit de colle de peau de lapin, dorure à la feuille, polychromie, une statue d’église, une Madone portant son bébé mais aussi enceinte d’un deuxième, je souhaitais proposer un changement de paradigme. Fidèle à ce que racontent les premiers Évangiles citant le nom des frères de Jésus, je propose une image de Marie plus réelle que celle de l’Immaculée Conception. Marie devient femme, fille-mère, puis mère des autres enfants que lui donne Joseph. J’esquisse, par cette uchronie, ce qu’aurait été notre société sans cette culpabilité que les religions font porter aux femmes, source de drames. Drames sociaux et psychologiques que j’évoque dans la deuxième pièce, une autre uchronie qui, au travers des évolutions techniques et esthétiques de la photographie, reconstitue l’ascendance fantasmée d’une femme née sous X. Dans les deux cas masquer le péché originel, la chair que stigmatise trois femmes. La première, à l’origine de notre civilisation, Marie, pour laquelle le mythe efface l’acte de chair, la propulsant, paradoxalement, en tant que Vierge, comme icône de la femme. La seconde, qui, au milieu du XXème siècle, n’a pu assumer son rôle de mère pour une raison inconnue. On peut imaginer que son accouchement sous X a été causé par la bienséance, fille de bourgeois engrossée dans le péché ou, fille de pauvre qui ne pouvait assumer le fruit amer d’un moment de faiblesse ou d’un viol. Et aujourd’hui, la troisième, cet enfant non souhaité, cette fille née sous X face au mur établi par la loi, devant porter le poids de son abandon et du mystère que représente ses ascendants, se sentant coupable de ne pas pouvoir donner une histoire familiale à ses enfants. Cette dernière mère est une amie, à qui j’ai suggéré un jour d’inventer de toute pièce un passé idéalisé. Plus tard, je lui ai proposé d’inventer des fragments de ce passé au travers d’un parcours dans le temps, séquencé par un bref parcours symbolique dans l’Histoire de la photographie. J’utilise le visage d’une de ses filles pour faire exister une arrière-grand-mère, une grand-mère et une mère.
La réalité de l’histoire et la manipulation La famille qu’on peut s’inventer lorsqu’on est né(e) sous X, cette transformation de l’Histoire, cette bifurcation dans l’espace-temps qu’est l’uchronie expose aussi la fragilité de la réalité. “Nous devons envisager l’état présent de l’univers comme l’effet de son état antérieur, et comme la cause de celui qui va suivre.” nous dit Laplace mais selon la théorie du chaos, un infime changement aurait pu transformer notre univers social et moral, changer ce paradigme. Si l’Église reconnaissait à Marie son statut de fille-mère au lieu d’imposer cette conception sans l’acte de chair, mon amie aurait probablement connu sa mère. D’autre part, la collection de photographies, support d’un passé fantasmé m’évoque aussi l’étagère de Rick Deckard, le chasseur de prime de la nouvelle de Philip K. Dick, Les androïdes rêvent-ils de moutons électriques ? et interprété par Harrison Ford dans Blade Runner. Étagère couverte de photos de famille et suggérant que le héros pourchassant les réplicants – des robots humanoïdes essayant de retrouver leur créateur pour prolonger leur vie – est l’un des leurs auquel on a implanté un faux passé. Chez moi, j’ai posé sur un buffet une série de vieilles photographies de ma famille et parfois je me demande si j’ai vraiment vu ces personnes. Mon père était photographe et regardant de vieux albums, je me demande si ma vie est réelle, si mes rares souvenirs d’enfant ne sont pas seulement instillées par ces images.

Ce diaporama nécessite JavaScript.

Biographies
Marc del Piano, né en 1958. Vit et travaille à Lyon
Après les Beaux-Arts de Lyon en département illustration et communication, MDP devient directeur artistique pour la publicité, fonde une agence de communication puis de multimédia. En 1999, il est associé par thierry Ehrmann à la fondation de la Demeure du Chaos dont il devient un des artistes intervenant et son directeur artistique. Parallèlement, il développe son univers personnel de plasticien en expérimentant différents média : dessin, peinture, photographie , sculpture en fonction de ses envies et des sujets qu’il aborde. Il expose son travail à la Demeure du Chaos et à Paris à la galerie Gratadou-Intuiti
Patrick Gabet, né en 1958. Vit et travaille à Lyon
Il se passionne pour la sculpture depuis l’âge de15 ans en autodidacte puis suit une formation classique en ébénisterie, sculpture et dorure. Il ouvre son atelier de sculpture et dorure à Lyon. Son activité d’artisan d’ Art s’articule autour de deux axes, la création et la restauration de statuaires, meubles, miroirs, dorés, polychromes, cirés … Quand à ses créations, très personnelles, elles sont visibles dans son atelier vitrine.
GALERIE GRATADOU-INTUITI
16, rue des Coutures Saint-Gervais 75003 Paris
http://www.galeriegratadou-intuiti.com
Non classé

Un nouveau site internet pour TZURI GUETA !

Ce mois de novembre marque le lancement du nouveau site http://www.tzurigueta.com répondant à la double exigence de faire découvrir l’univers onirique du designer TZURI GUETA et de proposer à la vente ses collections de bijoux, rencontre entre nature et futurisme.
Disponible en français et en anglais, ce site se développe autour d’une arborescence soignée, d’une ergonomie efficace et d’une excellence fonctionnelle. En page d’accueil, un menu principal propose des rubriques dédiées au parcours du designer, aux bijoux d’exception, aux expositions, scénographies et autres objets design, aux collaborations Haute Couture. Les dernières actualités défilent et se développent en bandeau ou vignettes sous un seul clic. Le plus, l’optimisation de l’expérience de navigation qui invite les visiteurs à consulter des projets liés au même univers. Ce menu d’accueil offre encore une rubrique qui s’adresse spécialement aux professionnels. Cet espace leur permet de se créer un compte afin de choisir les collections, les faire apparaître sur le site, consulter les prix wholesale et passer leur commande directement en ligne. Enfin, un espace presse permet de visionner les parutions par année et par média. Pour chaque onglet – vidéo et presse écrite/web – une sidebar facilite la tâche, notamment aux journalistes, pour entrer directement en contact avec le service RP de la marque.
Pas de site internet performant sans une boutique en ligne optimisée !
Un e-shop dynamique qui permet de retrouver les fameuses collections de bijoux en dentelle siliconée, technique brevetée par TZURI GUETA. Un système de cross-selling, basé sur un filtre par catégorie ou par collection, invite les visiteurs à consulter des produits similaires à celui recherché ou en cours de visionnage. Ludique, l’intégration d’une option type « compléter le look », système suggérant aux visiteurs des combinaisons de plusieurs achats. On note encore la présence d’un filtre par prix, par catégorie, par « articles du mois ». Super pratique, la fonctionnalité « changement de devises » ; toutes les devises sont disponibles et mises à jour automatiquement en temps réel. Cet e-shop intègre les dernières normes de sécurité et les paiements s’effectuent via Paypal.
Pour trouver une boutique en France ou à l’étranger, rien de plus simple, la localisation des points de vente ciblés par ville et par pays, se fait grâce à une option de géolocalisation et détection géographique via terminaux mobiles ou sur ordinateur.
http://www.tzurigueta.com

Ce diaporama nécessite JavaScript.

Non classé