A&K présente la bougie exclusive « La Numéro 1 » et son univers olfactif à l’occasion d’un pop up store inédit du 15 au 17 mars 2022 à l’Hôtel Kimpton…

À la recherche de nouveauté et d’excellence, la marque A&K a été créée par deux passionnés de parfums, afin de proposer une collection éphémère et limitée de 4 bougies parfumées et univers olfactifs. Une histoire inédite et unique. Chaque bougie de cette collection a été conçue afin de s’évader, de se remémorer les souvenirs passés et les odeurs d’en temps, rassurantes et familières. Comme une Madeleine de Proust…

Transmettre, s’inspirer, rester libre, ne pas céder à la production de masse, ne jamais manquer d’audace, mêler élégance et exigence, être authentique et créatif avec le souci permanent du détail seront pour toujours les valeurs de A&K.

De fabrication 100% française, 500 bougies de 2 kg et 1500 bougies de 200 g accompagnées de leur diffuseur d’ambiance et savon, composeront chaque numéro. Deux années ont été nécessaires pour concevoir la première bougie sobrement baptisée : La Numéro 1.

Rentrer d’une marche en montagne, en hiver, au lever du jour ou à la tombée de la nuit, la forêt et les chemins sont encore humides de rosée ou de la dernière pluie.

Ouvrir la porte du chalet, sentir l’odeur du vieux parquet, de la cendre encore fumante dans la cheminée et celle du cuir de cette paire de bottes fraichement lustrées, dans l’entrée.

Là se confondent les parfums et les essences de la cire, du bois, du feu, de la terre, du goudron… pour devenir la fragrance subtile de la bougie La Numéro 1 et de son univers olfactif.

A&K « La Numéro 1 » / Pop up store, du 15 au 17 mars 2022 de 11h à 19h / « THE LIBRARY » HOTEL KIMPTON : 27/29, boulevard des Capucines 75002 Paris.

http://www.aandk.fr

Contacts presse : Nicolas Dal Sasso +33 6 723 00 728 – dalsasso.communication@gmail.com / Christian Lemoine de La Salle +33 6 08 56 23 91 – ch.lemoinedelasalle@gmail.com

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JOYCE GALLERY présente du 22 février au 5 mars, NOCHAPIQ « Road Trip »…

Le 14 septembre 2019, à la sortie d’un concert de Christine & The Queens, salle Pleyel à Paris, Noémie Chaillet-Piquand a un déclic et décide de faire son « coming out » artistique pour devenir NOCHAPIQ. Une signature que cette artiste touche à tout revendique, assume et pose désormais sur des objets du quotidien enrubannés, des pièces de mobilier ébouriffés, des pavés parisiens parés de couleurs. Sa matière de prédilection : le ruban de Maisons de luxe, appelé également bolduc. Un certain regard sur l’art et sur l’apparence dans notre société, à découvrir du 22 février au 5 mars 2020 dans le cadre de l’exposition « Road Trip » que lui consacre la JOYCE GALLERY au Palais Royal.
Noémie Chaillet-Piquand ne s’épanouit qu’en zone libre. Son esprit créatif, voire récréatif, a besoin de marge de manœuvre, d’air, d’espace : « Je fonctionne à l’instinct. J’aime tester, tâtonner, expérimenter, fouiner ». A l’instar de la démarche spontanée qui l’a menée à la création artistique en 1993. Une première phase de réalisations personnelles qu’elle appelle « mon école des Beaux Arts ». A cette époque, il va lui suffire de commencer des collages, d’acheter quelques tubes de gouache pour prendre goût à manipuler matières, couleurs, formes et outils.
En 2015, devenue autonome et freelance dans l’univers du luxe, de la mode, de la beauté, Noémie Chaillet-Piquand renoue avec la création. Elle dégage du temps pour intensifier son envie de « Faire » sans commandes, ni contraintes. Elle va ainsi reprendre et poursuivre le travail amorcé quelques années auparavant autour de pièces de mobilier. Ses matières premières ? Des vêtements de grandes maisons déchiquetés, des couvertures de survie lacérées, des bouts de ficelle, des élastiques, des écouteurs d’iPhone… De ces drôles de matériaux, elle couvre, recouvre, habille les meubles qu’elle a chez elle ou qu’elle trouve aux puces ou à Drouot, de la chaise de jardin, à la console en bois massif. Elle va même à s’emparer et à emballer le fameux pavé parisien.
C’est en 2017, que le ruban de marques de luxe s’impose vraiment à elle, après la réalisation d’une console nommée « Woodstok », première pièce de mobilier où elle utilise ce médium original. Tout y passe alors cuillères, fourchettes, pipes, brosses à dents, appareils photos, caméras, marteaux, bracelets, prises électriques, souris d’ordinateurs… Ces objets de la vie quotidienne se parent de rubans griffés chinés en brocante ou sur internet. Elle choisit le bolduc parce qu’il ne s’achète pas et qu’il l’intéresse aussi pour sa valeur statutaire. Atypie du geste ? Façon de momifier une certaine idée de la société de consommation ? Noémie qui se sent proche du Pop Art et du Surréalisme laisse chacun libre de s’approprier cet objet rhabillé, qu’elle veut avant tout créateur de lien avec l’envie que le visiteur, l’observateur, le curieux se pose des questions en le découvrant. En 2019 Noémie Chaillet-Piquand devient NOCHAPIQ.
NOCHAPIQ, vit et travaille à Paris. Dans son atelier qu’elle appelle « Les Feuillantines » du nom de la rue où il se situe, des bolducs de toute sortes côtoient une collection de dés à coudre, des tissus, des objets fraîchement enrubannés. Sur son établi, une pléiade d’outils ciseaux de coiffeur, plioir en ivoire, gomme en crêpe, adhésif double face, planches de coupe. C’est ici qu’elle a « embolduqué » déjà plus de 2000 objets.
NOCHAPIQ « Road Trip »
Exposition du 22 février au 5 mars 2020
JOYCE GALLERY : 168, Galerie de Valois – Jardin du Palais Royal – 75001 Paris
http://www.joyce.com
Contacts presse :
Nicolas Dal Sasso +33 6 723 00 728 – dalsasso.communication@gmail.com
Christian Lemoine de La Salle +33 6 08 56 23 91 – ch.lemoinedelasalle@gmail.com

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JOYCE GALLERY présente, du 28 mai au 15 juin, « ARTICULATION », une exposition de KUNTZEL + DEYGAS…

Du 28 mai au 15 juin, Kuntzel+Deygas proposent Articulation à la galerie Joyce (Paris 1er), une exposition de dessins, objets et musique autour du mouvement et du dialogue. Dessins-affiches, encres-storyboard, speakers anthropomorphes et bande-son s’articulent et se répondent pour composer la trame d’un film imaginaire ébauché par Olivier Kuntzel et Florence Deygas. Deux grands manipulateurs d’images et son, à qui l’on doit entres autres depuis 1988 le générique de Catch me if you can pour Steven Spielberg, le personnage-égérie La Petite Robe Noire Guerlain, la Lampe MiCha (vendue au Bon Marché) ou les deux chiens existentialistes italiens Cap & Pep dont les aventures ont fait les beaux jours de Colette et du Vogue Nippon.
L’exposition regroupe deux séries de dessins organiques à l’encre : articulations d’Olivier Kuntzel et contorsions d’après modèle vivant par Florence Deygas. Certains dessins de ces deux séries seront agrandis sur des tapis tuftés main ou bien rétrécis puis sérigraphiés sur des tote bag en série limité. Dans l’espace, 8 MinuSkull, ces enceintes vanités imaginées par le duo diffuseront sons, musique et des paroles qui dialogueront pour composer un paysage sonore évolutif signé Romain Turzi dont le point de départ est un court texte français confié à Google Translate pour être traduit, manipulé, trituré en différentes langues avant son retour en français dans une version métamorphosée.
Olivier Kuntzel a débuté cette série de dessin à l’encre et gouache sur carton bois, des cadrages serrés sur des bras articulés mi organiques mi exo-squelette. On pense à des affiches pour un film fantastique élégant. “Affiches parce qu’une sensation typographique structure toujours mes dessins. Le trait est tendu, les courbes évoquent des trajectoires bien négociées ; et l’élégance naît de cette impression de rencontrer un monstre bien habillé. Dans l’affiche il y a un mystère que le film va révéler, mais là, pas de film, juste du mystère. “ Les gouaches mélangées à la poudre métallique sont encadrées sans vitre “pour charger le contact cru avec toutes ces textures. On prend le risque de l’altération, ce n’est pas un risque c’est la vie du dessin qui évolue, vieillit, se patine, devient plus précieux encore avec le temps.”
Pour sa série d’esquisses, Florence Deygas a pris rendez-vous avec une contorsionniste “pour me déstabiliser un peu face à un modèle vivant. Inédit pour moi. Les postures restaient sous mes yeux quelques secondes, les 3 heures de la première séance étaient comme un marathon sans respirer. Le mouvement était captivant. La nudité du croquis m’a toujours attiré. Ce qui peut naître du trac aussi.”. Une urgence de l’instant qui délivre de l’habilité pour s’approcher du vivant. “Je me suis retrouvée comme si je voyais un corps humain pour la première fois, étonnée de voir une tête aussi près d’une hanche, de ne plus comprendre d’où venait le point d’appui. La prochaine fois je dessinerai en cabine d’apesanteur !”
MinuSkull ” Nous avons eu envie que les premiers spectateurs de l’exposition soient un groupe de 8 MinuSkull auxquels nous avons donné des corps en ruban de métal soudé, réalisés d’après nos croquis par Y.A.ATelier, puis nous avons amené ce groupe au musicien et compositeur Romain Turzi, qui a accepté de composer une œuvre musicale à huit voix pour cette installation.
KUNTZEL + DEYGAS : « ARTICULATION »
Exposition du 28 mai au 15 juin 2019
Du lundi au vendredi, de 12h à 18h30
Samedi, de 14h30 à 19h
JOYCE GALLERY
168, Galerie de Valois – Jardin du Palais Royal – 75001 Paris
http://www.joyce.com
http://www.kuntzel-deygas.com

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JOYCE GALLERY présente du 9 au 17 novembre, « CABANE » par LE VILLAGE DES CRÉATEURS…

16 talents mode et design exposent à Joyce Gallery Paris
La 9e exposition du Village des Créateurs à Joyce Gallery Paris rassemblera 16 talents mode et design de la création lyonnaise et de la région Auvergne Rhône-Alpes. Une invitation à entrer à pas de velours dans l’automne par cette balade à travers la forêt.
Lieu de refuge, la cabane sera la mise en scène de cette nouvelle exposition pour proposer un temps suspendu, une véritable osmose avec la nature. Le décor végétal et boisé, entre épure et bien-être, permettra aux collections des créateurs et designers d’exhaler leur singularité.
Lignes sobres et graphiques, jeux de matières et de formes, volumes équilibrés et couleurs contrastées, nous invitent à une parenthèse enchantée.
Lieu de rencontre, d’interaction et de transversalité, le Village des Créateurs fédère à Lyon, une pluralité de personnalités, de sensibilités et d’expressions variées.
« CABANE » par LE VILLAGE DES CRÉATEURS
Exposition du 9 au 17 novembre 2018
Du lundi au samedi, de 14h30 à 18h30
JOYCE GALERY : 168, Galerie de Valois – Jardin du Palais Royal – 75001 Paris
http://www.joyce.com
http://www.villagedescreateurs.com

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Jusqu’au 16 février, découvrez le pop’up store « Spring Royal » de JOYCE GALLERY…

Entre mode, décoration et design, retrouvez les créations originales de Catherine Osti, Nathalie Gagneux, La Môme Bijou, Maison Pourchet, Jérom Léger…
Jusqu’au 16 février 2018
Joyce Gallery
168, Galerie de Valois – Jardin du Palais Royal – 75001 Paris
http://www.joyce.com
Contacts presse :
Christian Lemoine de La Salle +33 6 08 56 23 91 – christian@lemoinedelasalle.com
Nicolas Dal Sasso +33 6 723 00 728 – dalsasso.communication@gmail.com

 

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Du 23 novembre au 10 janvier, JOYCE GALLERY présente son pop-up store de Noël « CHRISTMAS SILENCE »…

Prêt-à-Porter de Créateurs, accessoires de mode, objets de décoration, créations design, fragrances d’intérieur… Une sélection de pièces originales ou uniques de designers et marques reconnus ou émergents. JOYCE GALLERY met en avant le travail de créateurs passionnés, inspirés et incite à la découverte.
Manchettes bijoux, broches fleurs imaginaires de silicone, objets déco empreints de mystère et de fragilité, luminaires design aux accents scandinaves, bijoux en perle d’hématite ou aux allures d’oiseau de paradis, mini sacs esthétiques et minimalistes, parfums d’intérieur très parisiens, foulards faits main, chaises en patchwork de canevas vintage, décors muraux spectaculaires…. Impossible de ne pas trouver ici son bonheur et de dénicher le cadeau idéal pour ces fêtes de fin d’année….
CHRISTMAS SILENCE
Pop-up store Noël 2017
Du 23 novembre 2017 au 10 janvier 2018
JOYCE GALLERY
168, Galerie de Valois – Jardin du Palais Royal – 75001 Paris
Tél. +33 1 40 15 03 72
http://www.joyce.com
HORAIRES
23 & 24 novembre, de 12h à 19h
25 novembre, de 14h30 à 18h30
Du 27 novembre au 23 décembre,
Du lundi au samedi, de 12h à 19h
24 & 25 décembre, fermé
26, 27, 28, 29 et 30 décembre, de 14h30 à 18h30
1er & 2 janvier, fermé
Du 3 au 10 janvier,
Du lundi au samedi, de 14h30 à 18h30

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RODOLPHE PARENTE présente « Lingerie Pop Métal » sur AD Intérieurs 2017 à La Monnaie de Paris, du 6 au 20 septembre…

Depuis sept ans, au mois de septembre, Marie Kalt, Rédactrice en Chef du magazine AD France et son équipe sélectionnent pour une exposition temporaire, dix décorateurs et architectes d’intérieur internationaux aux talents confirmés ou émergents. Chacun est invité à mettre en scène une pièce de la maison illustrant leur philosophie autant que leur style en s’entourant des meilleurs artisans et savoir-faire.
Une carte blanche leur permettant d’explorer non seulement une thématique donnée mais d’imaginer surtout un espace étonnant célébrant la haute-décoration. Cette année, l’exposition aura lieu à la Monnaie de Paris et sera placée sous le thème de la Matière.
Architecte d’intérieur, Rodolphe Parente interroge cette année la notion du beau dans le quotidien et sa démarche créative s’oriente vers une pièce de la maison dite de service ou fonctionnelle. Comment apporter créativité et sophistication à un espace bien souvent caché ? Dans son travail, Rodolphe Parente s’attache à l’idée que l’on peut envisager la décoration de ce genre d’espace « secondaire » avec le même souci esthétique qu’une pièce telle que le salon ou la chambre à coucher. C’est un peu comme penser l’intérieur de la poche d’un manteau avec de la fourrure ; vous êtes le seul à connaître ce confort intime, ce détail secret, cette sophistication ultime. La buanderie, scène d’expression…
Dans ce lieu, les fonctionnalités y sont diverses, souvent délaissées par le beau. L’idée ici, n’est pas de remettre en question les fonctions de base comme le lavage, le séchage, le repassage mais bien de les mettre en exergue de façon inédite à travers une lecture insolite : le choix de matières détournées, l’utilisation inattendue de savoir-faire, des détails de décoration décalés.
Ce projet se veut donc captif par le traitement original de l’espace. Le sol interrogera l’art de la marqueterie. Comme une grande peinture abstraite, en pièces de métal texturé et patiné s’animeront en taches contemporaines et colorées. Les murs en tôle polimiroir seront comme des voiles immatériels reflétant par diffraction le graphisme du sol. Détourner l’utilisation du matériau d’habillage des façades pour un usage domestique. Un lavoir de pierre s’inscrira dans un paravent en verre texturé rappelant les typologies d’aération des buanderies. La table à repasser se présentera au centre du lieu tel le symbole du beau fonctionnel. Les matières nobles habillent les fonctions techniques : le pied en patine est souligné par une structure de laiton brossé. Un rangement dissimulé met en scène des produits ménagers devenant icônes et clin d’œil à la culture pop. Des vêtements suspendus à des tringles de séchage rythment aussi l’écriture du décor.
L’approche de Rodolphe Parente se veut différente, sensible à la virtuosité du geste, ouverte aux questionnements sur la forme dans la réalité d’usage et de mise en œuvre… Apporter du beau au quotidien.
La « Lingerie Pop Métal » by Rodolphe Parente
AD Intérieur 2017
Exposition du 6 au 20 septembre 2017, de 11h à 19h
La Monnaie de Paris : 11, quai de Conti 75006 Paris
http://www.rodolpheparente.com

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À propos de Rodolphe Parente
Marqué par l’excellence des décorateurs ensembliers comme Pierre Chareau, Gio Ponti ou Carlo Scarpa, Rodolphe Parente décide de se former aux métiers de sa future profession : l’architecture intérieure, le design. Diplômé en architecture intérieure à l’École Nationale des Beaux Arts de Dijon puis de l’École Supérieure des Arts Décoratifs de Strasbourg, Rodolphe Parente complète sa formation initiale en design produit à l’ECAL (École Cantonale d’Art de Lausanne).
Rodolphe Parente collabore ensuite plusieurs années avec Andrée Putman à Paris. Il conçoit de nombreux projets, allant de la conception de mobilier en passant par la conception d’architecture intérieure comme le réaménagement de l’hôtel Morgans à New York.
Stimulé par ses expériences aux cotés de grands noms du luxe et du design contemporain, Rodolphe Parente développe son studio à Paris dédié à l’architecture d’intérieure, le design et la scénographie pour des projets exclusifs, aussi bien résidentiels que commerciaux. Il a su allier à sa sensibilité des détails, celle de la maîtrise des savoir-faire pour dessiner des intérieurs sophistiqués et narratifs. Pour donner un ton juste à ses créations, Rodolphe Parente place toujours l’utilisateur au centre de sa démarche créative qu’il veut ouverte aux émotions, à la qualité du dessin, au graphisme. Il puise dans le quotidien ce qui va en permanence inspirer son travail de création : un mélange intime de textures et de sensibilités qui le guide vers une quête de perfection motivée par une recherche de conforts esthétiques et fonctionnels.
Dossiers de presse et visuels à télécharger sur : http://urlz.fr/5MNF
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RODERICK MURRAY évoque avec JOYCE son dernier projet de restauration au cœur d’Édimbourg (Écosse)…

Nombre d’aspirants propriétaires seraient pour le moins découragés à l’idée de transformer un bâtiment vieux de deux cents ans et inscrit au patrimoine mondial de l’UNESCO en habitation résidentielle. La plupart partirait en courant devant l’ampleur de la tâche. Comme nous sommes à Édimbourg, nul doute qu’ils prendraient la fuite vers les Highlands. Installés à l’autre bout du monde, l’architecte Roderick Murray, son partenaire Andrew Keith, président de l’enseigne de détaillants de mode JOYCE, tous deux basés à Hong Kong, ont pourtant entrepris, avec Lane Crawford, de rénover méticuleusement une propriété de style géorgien des années 1830 qu’ils venaient d’acquérir pour en faire un véritable havre contemporain en centre-ville, sans pour autant trahir l’histoire des lieux.
Pour ces habitants de Hong Kong d’ascendance écossaise, les affinités avec leur pays et leur culture d’origine sont toujours très fortes. Leur choix s’est porté sur une imposante bâtisse au style emblématique de ce district, située en plein cœur de la capitale, à deux pas de la résidence du Premier ministre d’Écosse. Difficile de concevoir une déclaration plus évidente de leur passion pour la culture, l’art et l’artisanat locaux.
Bien que baptisé « Nouvelle ville », le quartier a en réalité été édifié entre 1790 et 1820 pour répondre aux enjeux du développement de la vieille ville d’Édimbourg. Sa création s’inscrivait alors dans le cadre d’un modèle de planification dynamique de la ville. Les propriétaires ont tout d’abord été séduits par les proportions emblématiques de cette propriété à l’esthétique purement géorgienne.
« Nous avions passé de nombreuses années à la recherche d’un projet et d’une opportunité de ce type. Trouver une propriété restée en grande partie intacte relevait véritablement du défi. Dans les années 70, du fait de leurs dimensions, la plupart de ces bâtiments ont été convertis en espaces de bureaux sans subir d’altérations majeures. En venant de Hong Kong, nous avons été séduits par l’échelle du bâtiment : entre 3 500 et 4 000 mètres carrés offrant une belle surface habitable avec accès aux jardins, au centre de la place », se remémore Roderick Murray.
LA RÉSIDENCE
Après des études à la Glasgow School of Art, Roderick Murray a débuté sa carrière aux côtés de Norman Foster, alors responsable de la création de projets d’infrastructure stratégiques à grande échelle tels que l’aéroport de Hong Kong. Aujourd’hui spécialisé dans le domaine de l’architecture résidentielle et du design d’intérieurs, Roderick Murray a pu compter sur ses années d’expérience et d’expertise pour s’y retrouver dans le dédale des démarches administratives et des demandes d’autorisation nécessaires. Pas moins de douze mois de délai se seront en effet écoulés avant qu’il ne puisse commencer la réhabilitation de la bâtisse visant à créer un espace adapté à un style de vie contemporain.
« Historiquement, à l’époque géorgienne, il n’était pas rare de recevoir ses invités dans la chambre. Celle-ci possédait des doubles portes qui vous permettaient de tenir des conversations privées et pouvaient s’ouvrir sur le salon. Nous avons installé la cuisine à l’étage et conçu tout l’espace comme un salon ouvert que nous pouvions utiliser comme bureau et comme espace de travail. Cet espace constitue vraiment le cœur de la maison. »
Si la cuisine est signée Roderick Murray, ce dernier a décidé de faire appel à un ébéniste local pour la fabrication et le montage des meubles de rangement. Ce n’est là que l’un des nombreux clins d’œil du designer à l’attention de l’artisanat et des traditions passées et présentes de la région. L’imposante cage d’escalier abrite des luminaires traditionnels confectionnés par un forgeron de la région, tandis qu’un rideau contemporain tamisé en tweed, acquis auprès de l’enseigne Bute, habille les fenêtres de la chambre. Un papier peint graphique, signé Timorous Beasties, une entreprise de Glasgow, tapisse les murs de la salle à manger, tandis que l’impressionnant miroir orné de dorures de style géorgien situé dans le salon principal a été chiné, parmi de nombreuses pièces, au cours de ventes aux enchères qui se sont tenues dans des maisons historiques telles que la « Torridon House » (autrefois le domicile ancestral des « Earls of Lovelace »).
En tant qu’ancien élève de la Glasgow School of Art, Roderick Murray a tenu à ponctuer les différents espaces de travaux possédant une grande force d’interpellation réalisés par de grands artistes également diplômés de l’école : Ken Currie, Adrian Wiszniewski et Steven Campbell. On y trouve également des exemples issus d’une génération d’artistes de Glasgow de la fin des années 1800 : les « Glasgow Boys », à l’instar de Stuart Park, ainsi que le peintre coloriste écossais John Peploe.
Du fait de leurs influences internationales, il n’est guère étonnant que la décoration de l’intérieur de la maison embrasse un champ bien plus large que les seuls confins de la côte écossaise. Roderick Murray est habilement parvenu à trouver un juste équilibre entre des pièces venues du monde entier. C’est ainsi qu’un tapis réalisé sur mesure de Jaipur côtoie des œuvres de Gervasoni, Paula Navone, Arne Jacobsen et Tom Dixon.
« Notre approche du design d’intérieur est très éclectique, à la fois de par la nature même de notre activité, mais aussi du fait que nous vivons en Asie. En partant du style géorgien qui constituait l’ADN de la maison, il s’agissait ensuite d’ajouter d’autres couches de mobilier moderne, de l’art contemporain aussi bien que des pièces anciennes. Nous n’avons délibérément pas cherché à obtenir un contraste autre que celui offert par la simple évolution organique de pièces que nous avons rassemblées de façons qui ont même parfois réussi à me surprendre »,
confie Roderick Murray, faisant allusion à sa surprenante combinaison des tirages de Stephen Campbell exposés au-dessus d’une console thaïlandaise ancienne de deux cents ans de Chiang Mai, complétée par une paire de lampes Kartell en or.
Sans rien renier de l’influence esthétique caractéristique de Roderick Murray, en circulant d’une pièce à l’autre, on réalise rapidement que chaque espace est doté d’une identité propre : ambiance décontractée dans l’espace cuisine-salon à l’étage ou plus formelle dans le salon du rez-de-chaussée. Attention, formel ici ne rime pas nécessairement avec austère :
« La pièce est orientée au sud. Résultat : bien que la couleur des murs soit bien définie [un bleu sarcelle turquoise vif], celle-ci change tout au long de la journée au gré des variations de la lumière dans lesquelles la pièce est baignée. »
Parmi toutes ces œuvres, la préférence de l’entreprise se porte sur un ajout plus contemporain : un buste en marbre retravaillé de l’artiste écossais Jonathan Owen, dont l’une des spécialités est de s’inspirer de bustes de style géorgien originaux pour les déstructurer. À partir d’une tête en marbre, il a sculpté dans le visage afin de former une cage abritant une forme de boule qui roule librement.
« En clair, à l’image de la maison elle-même, vous avez devant vous quelque chose qui semble classique, mais en y regardant de plus près, vous découvrez que ce n’est pas du tout ce à quoi vous vous attendiez. »

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À PROPOS DE RODERICK MURRAY
Roderick Murray a étudié à la Glasgow School of Art et a ensuite été diplômé de la Mackintosh School of Architecture. Il a travaillé dans de multiples environnements de conception, de la mode au design d’intérieur et de produits, en passant par l’architecture. Il s’est établi à Hong Kong en 1995 afin de travailler pour Norman Foster. Il a ensuite fondé son entreprise R J Murray Design (RJMD) en 2005.
Roderick associe les disciplines de l’architecture et du design d’intérieur, en apportant son point de vue unique sur ces deux domaines. Ayant fait le choix de se dédier aux projets résidentiels, il propose un vaste éventail de services : planification de l’espace, aménagement et achat du mobilier, conception sur mesure d’éléments plus fins comme des carreaux de céramique et des tapis en laine réalisés à la main. La plupart sont aujourd’hui commercialisés dans son studio de Sheung Wan en raison de son immense succès.
À PROPOS DE JOYCE
Fondé en 1971, porte-drapeau permanent des artistes et des designers qui transcendent les frontières créatives, le groupe JOYCE représente l’avant-garde de la vente au détail, de la gestion de marque et de la distribution dans le domaine de la mode en Asie. Vivier et promoteur de talents exceptionnels dans le monde entier, le groupe JOYCE possède aujourd’hui sa boutique éponyme multimarques JOYCE et une prestigieuse enseigne de beauté JOYCE Beauty. Il réunit en outre un portefeuille de designers innovants parmi lesquels Alexander Wang, Alexander McQueen, Dries Van Noten, Dsquared2, Hugo Boss, Marni, Neil Barrett, Rick Owens, Sacai, Stella McCartney, Thom Browne et Victoria Beckham. Le groupe JOYCE gère plus de 50 points de vente en Grande Chine, dont six boutiques multimarques JOYCE et plus de 10 enseignes de beauté JOYCE Beauty.
http://www.joyce.com
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JOYCE GALLERY présente jusqu’au 17 juin, le pop-up « MANISH ARORA X DERHY »…

L’été 2017 se fera sous le signe de la couleur pour DERHY.
DERHY qui met au cœur de ses collections depuis la fondation de la marque l’artisanat et les métiers d’art valorisant ainsi la culture et l’art de vivre, signe une collaboration exclusive avec MANISH ARORA.
Le créateur reconnu pour son savoir-faire dans le jeu des couleurs et son regard sur une Inde moderne a imaginé une collection aux accents acidulés sur le thème « Life is beautiful ». Robes patineuses, jupes longues ou encore petits blousons matelassés, MANISH ARORA embarque DERHY dans son monde imaginaire et habile cette collection d’ambiance festive.
La collection proposée en édition limitée est composée de 24 pièces mixant avec harmonie l’univers ultra féminin de DERHY et l’univers pop du créateur indien MANISH ARORA.
Pour célébrer cette belle rencontre, la collection prend ses appartements chez JOYCE GALLERY, dans le jardin du Palais Royal, jusqu’au 17 juin et s’offre un écrin tout particulier inspiré du travail de MANISH ARORA.
A cette occasion, JOYCE GALLERY présente également les bijoux CHABAUX et les tapis et coussins de CALLA.
MANISH ARORA X DERHY
Pop-up store jusqu’au 17 juin.
JOYCE GALLERY : 168, Galerie de Valois – Jardin du Palais Royal – 75001 Paris
http://www.joyce.com

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Les créateurs du VILLAGE DES CRÉATEURS présentent leurs nouvelles collections sur les salons parisiens de cette fin janvier…

A travers mode, accessoires, décoration et lifestyle, découvrez sur les salons parisiens « Première Classe », « Maison & Objet », « Salon International de la Lingerie » et « Playtime », les nouveautés 2017/18 des créateurs du Village des Créateurs…
PREMIÈRE CLASSE – Porte de Versailles Paris – Du 20 au 23 janvier 2017
FST HANDWEAR – Gants & Accessoires – Hall 3 / Stand 217
Originaires de Grenoble, capitale historique de la ganterie, Benjamin Cuier et Philippe Larguèze, fondateurs et créateurs de FST Handwear, donnent un grand coup de poing dans l’univers traditionnel de la ganterie en imaginant le gant comme un nouveau support artistique. Il devient, à travers leurs collections, un nouveau vecteur d’expression et un réel moyen de distinction.
Depuis sa création en 2008, l’impertinence de FST Handwear avec ses couleurs flashy et ses prints engagés, fait sensation. La marque multiplie les collaborations et édite des collections limitées afin de se réinventer sans cesse.
Basée à Grenoble, FST Handwear s’appuie avant tout sur un savoir-faire local. Matières, impressions et fabrication Made In France permettent de garantir une qualité optimale de détails et de finitions.
http://www.fsthandwear.com

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MARIE ANTOILLETTE – Collants & Accessoires – Hall 3 / Stand 217
Depuis sa création en 2011, Marie Antoilette édite des collections de collants super graphiques, aux dessins créatifs et raffinés. Un univers poétique, coloré, peuplé de fleurs, de motifs décoratifs, de personnages singuliers faisant penser à ceux des fameux Mangas japonais ou à la célèbre poupée Holly Hobby. A travers ses collections conçues et réalisées dans le Rhône, près de Lyon, la marque revendique une fabrication Made In France, utilisant une technique innovante à sublimation thermique capable de reproduire sur un polyester ou une fibre d’élasthanne, la finesse des graphismes,l’éclat des couleurs.
Un produit de grande qualité, unique au monde, puisque chaque dessin est parfaitement pensé pour s’adapter à la jambe et se placer sans aucune déformation, de la même façon dans toutes les tailles. Une révolution technique récompensée en 2014, par le prix Talents Intima décerné par les professionnels de la lingerie.
http://www.marieantoilette.com

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MAISON & OBJET – Villepinte – Du 20 au 24 janvier 2017
SIOOU – Bijoux éphémères – Hall 6 / Stand H58
Sioou est une jeune marque française qui propose un accessoire de mode nouveau : le bijou éphémère. Des créations originales d’artistes peintres, graphistes et illustrateurs, que les femmes portent directement sur la peau. Féminins et élégants, ils sont pensés et conçus comme des bijoux.
La technique utilisée est celle d’un tatouage temporaire de qualité, totalement hypoallergénique. L’application est facile et ne dure que quelques minutes, elle est assistée d’un guide de pose, vendu avec le produit. Sioou est né de la volonté d’apporter fraîcheur et renouveau dans nos parures. La peau est un moyen de communication et d’expression spontané et naturel. Sioou s’inspire des traditions d’un peuple Amérindien, les Sioux. Leur coutume était de se peindre le corps pour les grandes occasions.
http://www.sioou.com

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SALON INTERNATIONAL DE LA LINGERIE – Porte de Versailles – Du 21 au 23 janvier 2017
ESQUISSE LINGERIE
Diplômée de l’Institut Français de la Mode, Céline Jean, fondatrice de Esquisse Lingerie, a travaillé quinze années dans la mode, successivement au sein de la maison Repetto, puis au sein du groupe Etam. Devenue experte en lingerie, elle décide de lancer sa propre marque en 2015.
Esquisse Lingerie est née de l’envie de proposer une nouvelle idée de la lingerie, plus proche des femmes d’aujourd’hui, qui serait à la fois confortable et esthétique. Inspiré par Paris, la nature, les contrées lointaines, l’univers stylistique de la marque se révèle à travers des photographies, dessins et motifs exclusifs, imprimés sur une matière luxe technique et sur des formes épurées découpées au laser.
Esquisse Lingerie allie créativité et féminité en faisant appel à un savoir faire d’excellence Made In France. Une évidence pour la marque et une façon de contribuer au maintient du tissu industriel français.
En 2016, Esquisse Lingerie est récompensée par un prix spécial du jury au concours Talents de Mode.
http://www.esquisse-lingerie.com

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PLAYTIME – Parc Floral Paris – Du 28 au 30 janvier 2017
ZÜ – Univers enfant & Papeterie – Stand E13
Zü est une marque d’accessoires textiles et de papeterie. Son nom se prononce [zu] et signifie « autour de » en langage Volapük.
Sa créatrice, Juliette Collet est passionnée par le travail manuel depuis sa plus tendre enfance. C’est donc tout naturellement qu’elle s’est dirigée vers des études de graphisme et d’illustration afin d’exprimer sa créativité grâce à des techniques comme la peinture, le dessin, la sculpture ou le collage.
En mai 2010 elle lance Zü, sa marque d’objets décoratifs qui a pour mot d’ordre « poésie et rêverie ». Elle propose toute une gamme de papeterie, mais aussi des bijoux, des tatouages temporaires ainsi que des objets textiles. L’univers proposé par Zü est coloré, enfantin et graphique, c’est pourquoi ses produits s’adressent aussi bien aux enfants qu’aux adultes.
En parallèle de sa boutique, Juliette tient également à jour un blog qui propose régulièrement des ateliers DIY (tous les dessins et toutes les créations sont réalisés par la créatrice) qui sont en libre téléchargement afin de pouvoir les réaliser à la maison.
Tous ses produits sont 100% fabriqués à la main en France et pour certains, dans son atelier lyonnais.
http://www.zu-boutique.com

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http://www.villagedescreateurs.com
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